Bonjour à tous et à toutes, voici un article qui risque de tenir ses promesses.
Car Brunel rime avec Lunel, et pour rien au monde je n'aurai raté cette conférence, sur le thème du développement durable. "Le développement durable pour qui?" annoncée par une affiche attrayante, et trés prometeuse.
Toutefois, je savais bien que celle-ci ne m'apprendrai rien de nouveau, en 1h45, tout au plus. Ayant suivi un écu de géographie avec elle dans mes années de licence, j'avais déjà acquis les bases dont elles risquaient de parler (intuition confirmée). Mais, je voulais en faire l'expérience. Plus que des informations, que l'on pouvait obtenir par ailleurs sous d'autres formes plus complètes, et instructives, je suis venu pour l'expérimentation. Pour répondre à la problématique suivante: comment le lunelois de base, va t-il réagir face à une problématique complexe et ambigüe, décrit par la reine des médias, avec un point de vu et de pédagogie, bien à elle.
Le résultat fut, bien évidemment décevant. En fait, s'il fallait résumer l'ambiance, l'atmosphère de cette conférence/débat. En un mot, comme le dirait le prof de français joué par Elie Kakou, ce serait:
"sluuuuuuuuuuuuurrrp!"
Une présentation succinte, des questions débiles, des élus qui cherchent à se faire mousser, c'était réellement épatant. Preuve à l'appuie, puisque j'ai éffectué un enregistrement audio de cet événement.
Bien entendu ma critique ne s'arrête pas à la surface des choses.
J'aurais par exemple voulu faire des remarques en ce qui concerne une de ses réponses faisant allusion au film de science fiction "Minority report"En effet, ce film a été tiré d'un recueil de nouvelles "l'avenir commence demain" du romancier célébre Isaac Asimov et repris dans le roman de philipe K. Dick's, célébre désormais.
Dernière cette remarque se cache une question, celle du rôle et de la place que tiens le genre science fiction, en tant que projet civilisationnel, et du sens à donner à notre vie. En effet, si la notion de développement durable a besoin de réponses techniques, elle est surtout le fruit porteur d'un idéal, d'une prospective, qui tend forcément vers un monde meilleur. C'est la raison pour laquelle l'homme a aussi tant besoin de croire. Le rôle que joue l'imaginaire science-fictif, mérite plus d'attention, c'est pourquoi, je vais tenter de relier ces deux notions que sont le développement durable, et plus largement la modernité, et la science fiction.
J'aurais par exemple voulu faire des remarques en ce qui concerne une de ses réponses faisant allusion au film de science fiction "Minority report"En effet, ce film a été tiré d'un recueil de nouvelles "l'avenir commence demain" du romancier célébre Isaac Asimov et repris dans le roman de philipe K. Dick's, célébre désormais.
Dernière cette remarque se cache une question, celle du rôle et de la place que tiens le genre science fiction, en tant que projet civilisationnel, et du sens à donner à notre vie. En effet, si la notion de développement durable a besoin de réponses techniques, elle est surtout le fruit porteur d'un idéal, d'une prospective, qui tend forcément vers un monde meilleur. C'est la raison pour laquelle l'homme a aussi tant besoin de croire. Le rôle que joue l'imaginaire science-fictif, mérite plus d'attention, c'est pourquoi, je vais tenter de relier ces deux notions que sont le développement durable, et plus largement la modernité, et la science fiction.
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