(-558,-478 av-jc)
Fils d'un chef d'un clan noble, des Sakya, établi dans le nord-est de l'Inde, un peu au sud de l'Himalaya. Les devins prédirent qu'il deviendrait soit un « souverain universel » terrestre ou bien « Eveillé » spirituel, un bouddha. On lui donna le nom personnel de Siddharta, (but atteint) et celui de sa lignée était Gautama. Ses parents lui ayant le plus longtemps possible cachés les malheurs de ce monde, ceux-ci lui apparurent plus angoissantes lorsqu'il les découvrit. Quatre rencontres successives sur le chemin d'un jardin de plaisance auraient déclenchés la crise qui éveilla sa vocation définitive de renoncement (vieillard-malade-mort-religieux). Sentant les biens instables, dont la perte est inéluctable, il décida de quitter sa famille alors qu'elle dormait, car prit de dégout de la mort en croyant y voir un charnier!
Le sacrifice accompli, il devient religieux errant. Puis il commence à se consacrer au service d'un maître qui saura le guider. Ce dernier lui enseigne une forme d'analyse des réalités du monde exterieur et intérieur, par dénombrement et recensement appelé plus tard Samkhya. Puis fut initié à la pratique du yoga, pour s'entrainer à une maîtrise de son organisme et de ses pensées. Ses pratiques se fondent sur la doctrine selon laquelle l'élément éssentiel de la vie est le souffle. La régulation du souffle respiratoire serait un moyen d'agir sur l'ensemble des souffles organiques. Le but étant l'arrêt du mouvement involontaire de la pensée et à des prises de positions et à des prises de positions psychiques, ou Samadhi sur un objet. L'être psychique coïncide alors en conformité avec l'objet, c'est le Samapatti. Il devient donc inconscient. Le choix des objets de la pensée construisant l'avenir de l'individualité psychique. Mais ce yoga ne satisfait pas encore Siddharta, il quitte son maître et apprit d'un second à pousser encore plus loin dans le sens de l'élimination des phénomènes notionnels, ici il apprit a atteindre le stade ultime, celui où il n'y a plus « ni prise de conscience ni absence de prise de conscience ». Il le quitta ce maître accompagné de cinq de ces condisciples. Avec ces deux maîtres il avait acquis la maîtrise des cinq moyens qui sont restés ceux du yoga brahamanique: la foi, l'énergie, la présence d'esprit, le pouvoir de « poser » l'être psychique, et la compréhension. La réduction de l'être psychique à l'existence pure, n'était pas pour lui le but définitif, car n'abolissant par l'engagement dans le monde phénomènale source de douleur. En effet se dernier croyait pleinement à la transmigration des âmes (réincarnation), cela inclué la doctrine du karman c'est à dire de « l'acte », lié à toute nos vies qu'il faut apprendre à épuiser pour court-circuiter le cycle des transmigrations. Jugeant, inssufisant, le vidage psychique du au yoga, il y a inclus l'ascése, sans y parvenir. C'est à ce moment que ce produit l'éveil, à la bodhi et qu'il devient, « Eveillé », Bouddha. Il atteind ce stade à Gaya, à une centaine de kilométres au sud du Gange. C'est sous un figuier (pippal) qu'il connu une dernière crise avant de s'éveiller, et de parvenir au « oui », appelé Tathagata.
Sa théorie pour échapper au monde:
Le monde est intrinséquement instable est génératrice de douleur. Toute chose est soumise à cette loi (dharma), de plus celles-ci ne sont que constructions mouvantes sans nature consistante propre. Elles peuvent ce répartir en cinq ensembles: celui des représentation (rupa), celui des sensations (vendana) et celui des perceptions (saejna) attribuant un nom à leur forme. Celui des constructions psychiques inconscientes (samskara) ou éventuellement consciente, et finalement celui des pensée consciente ( vignana).
Fils d'un chef d'un clan noble, des Sakya, établi dans le nord-est de l'Inde, un peu au sud de l'Himalaya. Les devins prédirent qu'il deviendrait soit un « souverain universel » terrestre ou bien « Eveillé » spirituel, un bouddha. On lui donna le nom personnel de Siddharta, (but atteint) et celui de sa lignée était Gautama. Ses parents lui ayant le plus longtemps possible cachés les malheurs de ce monde, ceux-ci lui apparurent plus angoissantes lorsqu'il les découvrit. Quatre rencontres successives sur le chemin d'un jardin de plaisance auraient déclenchés la crise qui éveilla sa vocation définitive de renoncement (vieillard-malade-mort-religieux). Sentant les biens instables, dont la perte est inéluctable, il décida de quitter sa famille alors qu'elle dormait, car prit de dégout de la mort en croyant y voir un charnier!
Le sacrifice accompli, il devient religieux errant. Puis il commence à se consacrer au service d'un maître qui saura le guider. Ce dernier lui enseigne une forme d'analyse des réalités du monde exterieur et intérieur, par dénombrement et recensement appelé plus tard Samkhya. Puis fut initié à la pratique du yoga, pour s'entrainer à une maîtrise de son organisme et de ses pensées. Ses pratiques se fondent sur la doctrine selon laquelle l'élément éssentiel de la vie est le souffle. La régulation du souffle respiratoire serait un moyen d'agir sur l'ensemble des souffles organiques. Le but étant l'arrêt du mouvement involontaire de la pensée et à des prises de positions et à des prises de positions psychiques, ou Samadhi sur un objet. L'être psychique coïncide alors en conformité avec l'objet, c'est le Samapatti. Il devient donc inconscient. Le choix des objets de la pensée construisant l'avenir de l'individualité psychique. Mais ce yoga ne satisfait pas encore Siddharta, il quitte son maître et apprit d'un second à pousser encore plus loin dans le sens de l'élimination des phénomènes notionnels, ici il apprit a atteindre le stade ultime, celui où il n'y a plus « ni prise de conscience ni absence de prise de conscience ». Il le quitta ce maître accompagné de cinq de ces condisciples. Avec ces deux maîtres il avait acquis la maîtrise des cinq moyens qui sont restés ceux du yoga brahamanique: la foi, l'énergie, la présence d'esprit, le pouvoir de « poser » l'être psychique, et la compréhension. La réduction de l'être psychique à l'existence pure, n'était pas pour lui le but définitif, car n'abolissant par l'engagement dans le monde phénomènale source de douleur. En effet se dernier croyait pleinement à la transmigration des âmes (réincarnation), cela inclué la doctrine du karman c'est à dire de « l'acte », lié à toute nos vies qu'il faut apprendre à épuiser pour court-circuiter le cycle des transmigrations. Jugeant, inssufisant, le vidage psychique du au yoga, il y a inclus l'ascése, sans y parvenir. C'est à ce moment que ce produit l'éveil, à la bodhi et qu'il devient, « Eveillé », Bouddha. Il atteind ce stade à Gaya, à une centaine de kilométres au sud du Gange. C'est sous un figuier (pippal) qu'il connu une dernière crise avant de s'éveiller, et de parvenir au « oui », appelé Tathagata.
Sa théorie pour échapper au monde:
Le monde est intrinséquement instable est génératrice de douleur. Toute chose est soumise à cette loi (dharma), de plus celles-ci ne sont que constructions mouvantes sans nature consistante propre. Elles peuvent ce répartir en cinq ensembles: celui des représentation (rupa), celui des sensations (vendana) et celui des perceptions (saejna) attribuant un nom à leur forme. Celui des constructions psychiques inconscientes (samskara) ou éventuellement consciente, et finalement celui des pensée consciente ( vignana).
Il faut réfréner le désir, pour arrêter la course folle du cycle kharmique. Celui-ci venant de la sensation de la prise de contact avec les choses. Pour en finir avec celui la, il faudrait selon Bouddha changer le psychisme tout entier, pour refouler les passions et en tarir la source, pour aboutir à l'extinction, le nirvana. La discipline psychologique, le chemin, comporte huit mises en jeu (exactes): celle de la vision des choses, de la représentation conceptuelle, de la parole, de l'activité ou du comportement, de l'acquisition des moyens de subsistance, de l'application, de la présence d'esprit évoquant le savoir acquis, de la position ferme des forces psychiques sur leurs objets choisis le samahdi.
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